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| Vues d'ensemble |
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| Lucie Le Bouder, À Travers (orange), 2019, Polycarbonate, rail métallique, peinture |
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| Pierre Pouillet, Déploiement d’une posture, 2019, Pin du nord, production MPVite/MilleFeuilles |
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| Claire-Jeanne Jézéquel, Savoir s’étendre (or), 2007, Aggloméré et plâtre synthétique peints |
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| Marie-Jeanne Hoffner, Espacés, 2004, Dessins sur papiers millimétrés découpés superposés, boîtes acryliques |
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| Alexis Judic, Drop City, 2011, Bois peint |
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| Jezy Knez, Depuis les forêts, Panorama, 2018, Bois, terre, carton, plastique, miroirs, acier |
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| Jezy Knez, Depuis les forêts, Marches, 2018, Bois, sable, verre synthétique, aluminium, acier |
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| Jezy Knez, Depuis les forêts, After Earth, 2018, Bois, sable, verre synthétique, néons, billes en verre, acier |
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| Marie-Jeanne Hoffner, Eléments, 2017, Ensemble de 12 maquettes en balsa, peinture |
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| John Cornu, Millbank, 2016, Métal et laque noire |
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| Eva Nielsen, Filin, 2018, Huile, acrylique et encre de sérigraphie sur toile, Courtesy de l’artiste et de la galerie Jousse Entreprise, Paris |
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| Eva Nielsen, Ascien IX, 2018, Huile, acrylique et encre de sérigraphie sur toile, Courtesy de l’artiste et de la galerie Jousse Entreprise, Paris |
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| Eva Nielsen, Zode IV, 2018, Huile, acrylique et encre de sérigraphie sur toile |
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| Claire-Jeanne Jézéquel, La jetée, 2019, Encre de chine sur papier et spray sur structure métal |
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| Ann Veronica Janssens, Oscar, 2009, Vidéo couleur, 12’10, © ADAGP Ann Veronica Janssens, Courtesy the artist and kamel mennour, Paris/London |
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| Marie-Jeanne Hoffner, Landscape versus Architecture, 2007, de gauche à droite ; 1 : Hong Kong/Bundanon 2 : Atlanta/Melbourne 3 : Beyrut/Arz, Photographies en tirage Diasec contrecollées sur alu dibond |
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| Éric Tabuchi, de gauche à droite : 1 : Elboeuf, Val de Seine, 2 : Téloché, Pays manceau, 3 : Clermont-Ferrand, Grande et petite Limagnes, 4 : La Ferrière-aux-Etangs, Domfrontais, Tirages photographiques, encadrements sycomore production Bonus/MPVite/MilleFeuilles |
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| Manuia Faucon, Les maisons Becher, 2018, Lavis sur papier encadrés |
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| Gaël Darras, Les champs d’Asphodèles, 2019, Aquarelle sur papier, encadrements châtaigner production MPVite/MilleFeuilles |
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La Grande Bibliothèque
proposée par les PUI (Pratiques et Usages de l’Image)
Appel à participation pour présenter librement en 5 à 10 minutes un ouvrage photographique ou non, traitant du
rapport entre image et architecture. |
| Photographies: © Philippe Piron |
Contre Forme
John Cornu - Gaël Darras - Manuia Faucon - Marie-Jeanne Hoffner - Ann Veronica Janssens - Claire-Jeanne Jézéquel - Jezy Knez - Alexis Judic - Lucie Le Bouder - Eva Nielsen - Pierre Pouillet - Eric Tabuchi
Autour de l’exposition, le 20 juillet 2019 à 16h La Grande Bibliothèque
proposée par les PUI (Pratiques et Usages de l’Image)
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L’architecture est fonctionnelle, elle abrite les corps.
Abriter l’Art, c’est faire exposition.
L’exposition Contre Forme* convoque l’architecture. Les artistes ne sont pas réunis ici pour évoquer
un thème mais parce que cet art leur sert de vecteur, de pensée, de pure forme. L’architecture
devient un matériau, un dispositif de langage, une urgence...
Il ne s’agit en aucun cas d’être exhaustif, mais plutôt d’interroger des singularités.
Définir nous laisserait dans l’impasse du mouvement qu’imprime la pensée.
Contre Forme tend ici à tordre l’architecture en neutralisant sa fonction première.
Se perdre de la ruine romantique aux utopies poétiques.
Déambuler de la matérialité à la figure de l’architecte.
Errer de la dystopie à la réalité brute, concrète.
Chercher son chemin dans ce qui nous habite tous.
Là où nous nous abritons...
*Le titre de l’exposition renvoi au terme Contreforme (ou contre-forme) qui, en typographie est l’espace intérieur blanc
de certaines lettres. Cet espace est généralement fermé, mais, par extension, on appelle aussi contre forme les espaces
ouverts, marquant ainsi le plein et le vide pour créer la lettre. C’est l’espace qui définit en creux la forme restée ouverte.
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