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Vues d'ensemble |
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Vidéo:
šaddat
Violaine Lochu, vidéo, 15mn, réalisée grâce au soutien du CNAP et du Ricklundgarden Museum (Suède) 2018, Crédit de l'artiste |
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Aristophane
Pauline Gompertz,
vidéo, durée 5’, 2017, Crédit de l'artiste
Vidéo visible ICI |
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Vues d'ensemble
œuvre au centre :
Tête à tête
Alexandre Meyrat Le coz, Installation sculpture, bois, PVC, plantes, 80x80x110 cm, 2013, Crédit de l’artiste |
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Mon anonymat
Damien Rouxel, Vidéo, 7’06 min, 2017, Crédit de l’artiste
Créature (face)
Damien Rouxel, Photographie numérique encadrée, 58x66 cm, 2014, Crédit de l’artiste |
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Vue d'ensemble du dispositif:
This space between you and me, 2016
Where you go I go, epoxy, fibre de verre, plante aquatique, LED, pompe à eau, 2016
Dois je m'oublier pour vivre en ton corps, Impression 3D, écran LCD, PVC, eau, 2016
Benjamin Blaquart, Crédit de l’artiste |
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"LA PERPÉTUITÉ DU CHIFFRE 2"
Du mythe de l'androgyne au cyborg
En partenariat avec Les Ateliers de la Ville en Bois
Dans le cadre de l'appel à projets jeunes commissaires "Alpha"
Avec
Benjamin BLAQUART
Pauline GOMPERTZ
Violaine LOCHU
Alexandre MEYRAT LE COZ
Damien ROUXEL
Commissariat: Cellule Capiteuse
«Cette exposition entend présenter le travail de 5 artistes contemporain-e-s dont les pratiques déjouent, déstabilisent ou réfutent les simples et stériles oppositions binaires qui, dans la conception occidentale dominante, n’ont cessé de prévaloir. Et la sexuation, interrogation obsédante, devient ici le point de bascule de ce questionnement au travers de figures ontologiques, mythiques et symboliques.
En prenant pour point de départ le mythe de l’androgyne d’Aristophane - autrement dit ce qu’on présente comme une originalité neutre ou du moins antérieure et supérieure à tout marquage sexuel - pour atteindre le point paroxysmique de la figure du Cyborg de Donna Haraway, l’exposition entend à la fois s’attacher à questionner l’art et la fiction en tant qu’outils de décloisonnement des imaginaires, autant qu’elle souhaite retracer une historiographie partielle de la notion de dualité : de la naissance antique de l’identité une et unique à sa remise en cause contemporaine, notamment par le biais des cultural studies.
Les artistes présenté-e-s proposent chacun-e-s des alternatives plastiques tendant à déborder la grammaire qui substantive et divise les corps et les individus. Ils et elles entendent ainsi riposter par la figure d’un héros artificiel et métaphorique qui s’incarne tour à tour dans le masculin, le féminin, dans l’animal, dans la machine, dans le blanc, le noir, dans cette identité jamais fixe qui tient toujours à des impondérables.
Ainsi, il ne s’agit non pas d’une abolition des genres, ni d’un troisième genre ou même d’un quatrième, mais plutôt une politique du vide, laissant place à toutes les formes possibles de la constitution du soi et à des subjectivités qui par leurs capacités d’invention dessinent de nouveaux espaces irréductibles et protéiformes.»
Cellule Capiteuse |
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